Le Nouveau-Brunswick: Nos histoires, nos peuples Musée virtuel du Canada Direction du patrimoine, Province du Nouveau-Brunswick
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Le 30 juin 1866 - Les �lections provinciales au Nouveau-Brunswick donnent la faveur � la Conf�d�ration; adoption en Chambre, par un vote de 30 � 8, de la ��r�solution de la Conf�d�ration�� demandant au lieutenant-gouverneur Gordon de nommer une d�l�gation qui pr�parera l�union de l�Am�rique du Nord britannique.

Les projets �tudiants
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Ann�es 1860

Une nouvelle fenêtre ouvrira avec - The Town of Bathurst, 1860/ Ville de Bathurst, 1860
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Une nouvelle fenêtre ouvrira avec - The New Brunswick 1c Stamp (Locomotive), 1863-64/ Timbre d’un cent du Nouveau-Brunswick (Locomotive), 1863-1864
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Pendant les prosp�res ann�es de 1860, les provinces maritimes ont organis� une conf�rence � Charlottetown, � �le-du-Prince-�douard, pour parler de l�union de leurs trois colonies. Un groupe de d�l�gu�s du Haut-Canada et du Bas-Canada, dirig� par John A. MacDonald, a demand� s�il pouvait assister et prendre la parole � cette conf�rence. Au cours des discussions, un point est ressorti. Les colonies d�Am�rique du Nord britannique constataient que chacune d�elle avait � peu pr�s les m�mes probl�mes et chacune voulait les m�mes avantages pour sa population.

Une nouvelle fenêtre ouvrira avec - The Shamrock - Locomotive #4 of the New Brunswick & Canada Railway, c. 1865/ The Shamrock - Locomotive 4 de la New Brunswick & Canada Railway, vers 1865
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La � Conf�d�ration ï¿½, c�est-�-dire le regroupement sous un gouvernement central, n��tait pas une id�e nouvelle. D�j�, dans les ann�es 1820, quelques repr�sentants politiques des colonies avaient propos� cette structure. Elle avait �t� mentionn�e aux conf�rences sur le chemin de fer lorsque les repr�sentants s��taient r�unis pour discuter des projets d�un chemin de fer reliant leurs provinces. Le Nouveau-Brunswick avait d�j� refus� une offre d�union.

Une nouvelle fenêtre ouvrira avec - Departing Fredericton for the Charlottetown Conference, 1864/ Départ de Fredericton pour la Conférence de Charlottetown, 1864
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Une nouvelle fenêtre ouvrira avec - "How Confederation Would Affect the Working Classes", 1866/ « Comment la Confédération aura un impact sur la classe ouvrière – Conférence de M. Thomas Potts aux ouvriers », 1866
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Les provinces avaient bien des raisons d�aborder cette question avec prudence. Aucune province ne voulait perdre quoi que ce soit en s�unissant aux autres; aucune des provinces plus petites ou moins prosp�res ne voulait se faire �clipser par les provinces plus grandes et plus prosp�res. Chacune d�sirait obtenir quelque chose de mieux sans c�der de droits. De nombreux changements seraient apport�s et qui sait quels probl�mes cela pourrait causer. L�union de colonies tr�s diff�rentes �tait un processus tr�s complexe qui allait n�cessiter l�intervention de bons chefs de file.

Une nouvelle fenêtre ouvrira avec - Pierre-Amand Landry Top Hat/ Haut-de-forme de Pierre-Amand Landry
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Une nouvelle fenêtre ouvrira avec - Pierre-Amand Landry (1846-1916)
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Une nouvelle fenêtre ouvrira avec - Pascal Poirier (1852 - 1933)
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En 1864, le Coll�ge de Saint-Joseph a ouvert ses portes � Memramcook. Deux des premiers �tudiants � s�inscrire �taient Pierre-Amand Landry et Pascal Poirier. En tant qu��tudiants, ceux-ci suivaient de pr�s les d�bats sur la Conf�d�ration et sont devenus d�importants leaders dans l��tablissement de la place du Nouveau-Brunswick dans la Conf�d�ration.

Une nouvelle fenêtre ouvrira avec - Samuel Leonard Tilley (1818-1896)
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Samuel Leonard Tilley du Nouveau-Brunswick, en particulier, n�a pas tard� � d�montrer que sa connaissance du monde des affaires allait �tre tr�s utile pour r�soudre certains probl�mes de l�union. Pour que la Conf�d�ration r�ussisse vraiment, les planificateurs savaient qu�il faudrait plus que des applaudissements et l�enthousiasme qui avaient marqu� la premi�re rencontre � Charlottetown.

Une nouvelle fenêtre ouvrira avec - Fenians !/ Féniens !
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Apr�s Charlottetown, des conf�rences ont eu lieu � Qu�bec et � Londres (Angleterre). Au Nouveau-Brunswick, l�id�e de la Conf�d�ration aurait bien pu �tre abandonn�e s�il n�y avait pas eu ce groupe de soldats am�ricano-irlandais, les Feniens comme ils s�appelaient eux-m�mes. Ils mena�aient d�attaquer les colonies britanniques le long de la fronti�re avec les �tats-Unis. Au Nouveau-Brunswick, on a fait appel � la milice arm�e pour d�fendre la fronti�re. Le commerce a pratiquement cess� le long de la rivi�re Sainte-Croix. Les r�sidents surveillaient avec anxi�t� les feux de camp des Fenians sur les rives oppos�es.

Une nouvelle fenêtre ouvrira avec - Arthur Hamilton Gordon (1829-1912)
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Une nouvelle fenêtre ouvrira avec - Sir Arthur Hamilton Gordon Traveling Chest/ Coffret de voyage de Sir Arthur Hamilton Gordon
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Une nouvelle fenêtre ouvrira avec - Albert James Smith (1822 - 1883)
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Le lieutenant-gouverneur, Sir Arthur Hamilton Gordon, souhaitait la Conf�d�ration et cherchait � d�courager toute r�sistance au Nouveau-Brunswick. Le 7 avril 1866, un moment crucial dans l�histoire du Canada est survenu � la r�sidence du lieutenant-gouverneur (Ancienne R�sidence du gouverneur) � Fredericton. Le premier ministre d�alors, Albert J. Smith, leader du gouvernement contre la Conf�d�ration au Nouveau-Brunswick, a affront� le lieutenant-gouverneur, Sir Arthur Hamilton Gordon, avec ses divergences d�opinion afin de savoir si le Nouveau-Brunswick devait s�unir au Canada. M. Gordon a r�pondu par la dissolution du gouvernement, obligeant la tenue d�une nouvelle �lection et le choix subs�quent de Samuel Leonard Tilley comme premier ministre. La d�cision du Nouveau-Brunswick d��lire un gouvernement en faveur de la Conf�d�ration a transform� l�avenir de tout le Canada. La Conf�d�ration, comme elle avait �t� planifi�e � la conf�rence de Qu�bec en 1864, �tait maintenant r�alisable.

Une nouvelle fenêtre ouvrira avec - The Shamrock - Locomotive #4 of the New Brunswick & Canada Railway, c. 1865/ The Shamrock - Locomotive 4 de la New Brunswick & Canada Railway, vers 1865
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Lorsque la troisi�me conf�rence a �t� convoqu�e � Londres en Angleterre, les provinces n�ont plus eu aucun doute sur la signature d�une entente. Une Am�rique du Nord britannique unie, pensait-on, pouvait mieux d�fendre ses fronti�res. Pour le Nouveau-Brunswick, la Conf�d�ration pr�voyait aussi une allocation de dix ans, en compensation des pertes de revenus et une promesse que la Grande-Bretagne contribuerait aux co�ts de construction du chemin de fer intercolonial.

Une nouvelle fenêtre ouvrira avec - Map/ Carte, 1867
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Le 4 d�cembre 1866, � l�H�tel du Palais de Westminster � Londres en Angleterre, des repr�sentants des provinces du Canada, du Nouveau-Brunswick et de la Nouvelle-�cosse ont r�dig� une entente qui est devenue plus tard l�Acte de l�Am�rique du Nord britannique. Samuel Leonard Tilley a d�crit la nouvelle Conf�d�ration comme � un Dominion d�un oc�an � l�autre ï¿½. La Reine Victoria a aim� sa suggestion. Le Dominion du Canada a �t� �tabli, en 1867, par proclamation royale. Le Canada a c�l�br� sa cr�ation � titre de nation le 1er juillet 1867.

Une nouvelle fenêtre ouvrira avec - "Moniteur Acadien" Prospectus, 1867/ Prospectus du « Moniteur Acadien », 1867
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Une semaine plus tard, une autre c�l�bration tout aussi importante aurait lieu au Nouveau-Brunswick. Isra�l Landry publierait le premier num�ro du � Moniteur acadien ï¿½ � Shediac. C��tait le premier journal de langue fran�aise dans les provinces Atlantiques. Suivant sa devise � Notre religion, notre langue, notre culture ï¿½ , le � Moniteur acadien ï¿½ se consacrait aux int�r�ts des Acadiens dans le monde entier.



 
 
 
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