Christopher Sweet
Catégories: Auteurs (hommes) - Auteur.e.s anglophones - Romanciers - Côte acadienne
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Biographie
Christopher est l’auteur de quatre œuvres publiées, dont son plus récent roman d’horreur surnaturel, The Orchid Room.
Il a travaillé comme auteur pigiste, gestionnaire, serveur, barman, animateur, acteur, animateur pour enfants, camionneur, commerçant, téléphoniste de centre d’appels, concierge, adjoint administratif, barista, enseignant suppléant et, plus récemment, gérant de terrain camping.
Christopher est un lecteur passionné et un amateur de cinéma. Amoureux de la nature, il n’hésite pas à ramper dans la boue pour observer de plus près une bête, un oiseau ou un insecte particulièrement intéressant.
Il habite à Tabusintac, au Nouveau-Brunswick, avec sa famille grandissante (animaux de compagnie compris!).
Quelle influence le Nouveau-Brunswick a-t-il eu sur votre œuvre?
Le Nouveau-Brunswick regorge de charme et de beauté. Ses rivages rocheux, ses étendues d’eau et ses forêts luxuriantes sont à coup sûr source d’inspiration. Une longue sortie en voiture ou une simple promenade dans cette belle province suffisent à susciter l’envie de créer – un poème, une histoire, ou encore un roman entier.
Quel est votre livre néo-brunswickois préféré? Pour quelle(s) raison(s)?
Maple Springs, de Pierre C. Arsenault, est mon livre néo-brunswickois préféré en ce moment. J’adore les récits effrayants dans lesquels sont présentés des monstres et des sorcières; ce roman en met plein la vue.
Selon vous, quel est le point culminant de votre carrière jusqu'à présent?
Pour l’instant, la publication de mon dernier roman, The Orchid Room, est le point culminant de ma carrière. Le processus a été si long et semé d’embûches; à tel point que j’ai douté qu’il se retrouve un jour sur les rayons. La dernière réécriture, en particulier, a été un travail de titan. Le livre entier a été mis à nu sous mon stylo rouge et réinventé au fil des jours et des nuits d’insomnie qui ont précédé sa publication. Il a subi une telle transformation que je conserve la copie définitive annotée en souvenir, telle une preuve du dur labeur inévitable auquel doivent se soumettre les écrivains pour livrer la version la plus convaincante possible de leur histoire.
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Titre en vedette |
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The Orchid Room (2024) |
Extrait: That night, Farren had the train dream: The tracks are the same ones her train traveled on, but this landscape is vastly different. Her spot is surrounded by tall pine trees. This dream track is in the middle of a vast desert; nothing for as far as the eye can see. The ground she walks is made up of smooth, round, interlocking white stones. She is barefoot, both legs intact. In her dreams, she always has both feet. She walks alongside the tracks, not knowing where she is headed, only that she has to keep moving. 'Dad wants me to keep moving.' |
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Trouvez cet auteur dans le catalogue des bibliothèques publiques du Nouveau-Brunswick.
Source(s): Auteur.
